Le Paysan et le Serpent

Le Paysan et le Serpent

Résumé de l'histoire

Un agriculteur bienveillant sauve un serpent gelé mais est presque mordu par le serpent, une histoire avertissante.

Autrefois, un hiver froid aux États - Unis, il y avait un bon paysan. Ce jour - lĂ , il est allĂ© inspecter son champ comme d'habitude. Lorsqu'il est arrivĂ© dans la forĂȘt au bord du champ, il a trouvĂ© un serpent raide de froid. Le serpent Ă©tait recroquevillĂ©, immobile, il avait l'air trĂšs pitoyable. Le paysan a pensĂ© que ce serpent Ă©tait aussi une vie. Que c'Ă©tait dommage s'il Ă©tait gelĂ© Ă  mort dans ce froid glacial.

Le paysan prend le serpent dans ses bras

Le paysan n'a pas hĂ©sitĂ© longtemps et a doucement pris le serpent dans ses bras, puis l'a mis dans son sein chaud. Il espĂ©rait que sa tempĂ©rature corporelle pourrait rĂ©chauffer le serpent. Il marchait en veillant avec prĂ©caution au serpent dans ses bras, comme s'il s'agissait de son propre enfant. Il pensait qu'une fois le serpent rĂ©chauffĂ©, il le remettrait dans la forĂȘt pour qu'il puisse continuer Ă  vivre.

Le serpent se réveille et montre son air féroce

Au bout d'un moment, le serpent s'est progressivement rĂ©veillĂ© dans les bras du paysan. Avant que le paysan ait eu le temps d'ĂȘtre heureux, il a vu que le serpent a soudain ouvert la bouche, montrant ses dents venimeuses acĂ©rĂ©es et a mordu dans sa main. Le paysan a eu un frisson et a vite retirĂ© sa main. Il n'avait jamais imaginĂ© que, malgrĂ© son bon geste pour sauver ce serpent, celui - ci allait le mordre.

Le paysan regarde le serpent avec déception

Le paysan regarda le serpent avec dĂ©ception et dit : « Je t'ai sauvĂ©, pourquoi veux - tu me mordre? Je pensais que tu Ă©tais seulement raide de froid et avais besoin d'aide, je ne pensais pas que tu Ă©tais si mĂ©chant. » Le serpent rĂ©pondit froidement : « Je suis un serpent, c'est ma nature, tu n'aurais pas dĂ» me sauver. » En disant cela, le serpent s'est enfuit. Le paysan resta lĂ , regardant dans la direction oĂč le serpent s'en allait, son cƓur Ă©tait plein de rĂ©flexions. Il a compris que pour les choses de nature mĂ©chante, mĂȘme si vous leur montrez de la bienveillance, elles ne seront pas reconnaissantes et peuvent mĂȘme vous blesser. Depuis lors, le paysan est devenu plus prudent lorsqu'il aide les autres personnes ou les animaux.